Un premier pas,
sans pression
Pour voir si c’est la bonne méthode
(et la bonne personne 😉)

Sophro-mobile™
Et si votre jeune retrouvait enfin
confiance, calme et joie de vivre,
tout en restant à la maison
avec les premiers effets visibles
en moins de 30 jours ?
Quelque chose ne va pas…
Votre enfant est intelligent, sensible, créatif…
Et pourtant,
Vous sentez qu’il va mal.
Rien de “grave” aux yeux des autres,
Mais à l’intérieur,
C’est l’effondrement.
Vous l’avez sûrement déjà entendu dire :
“J’en ai marre.”
« Ça sert à rien.”
“Je suis nul(le).”
“Je vais jamais y arriver.”
“Personne me comprend.”
Peut-être même que vous l’avez vu :
🫣 Se renfermer, se couper de ses amis.
😔 Perdre goût à tout, même à ce qu’il ou elle aimait.
📝 Trembler à l’idée d’un devoir ou d’un examen.
🎭 Faire semblant d’aller bien pour ne pas vous inquiéter.
Et vous,
Vous vous sentez perdue.
Impuissante.
Coupable.
Vous avez tout essayé,
Mais ça n’a rien changé — ou si peu.
Vous sentez qu’il ou elle est en train de s’éteindre.
Maintenant imaginez,
Votre enfant se réveille avec plus de légèreté.
Son regard cherche le vôtre,
Il vous sourit,
Je ne vous parle pas du sourire qu’il s’oblige à faire pour ne pas vous inquiéter.
Non. Ce sourire ?
Il est vrai,
Léger,
Sincère.
Les angoisses ont laissé un peu de place à la respiration.
A l’apaisement.
Les devoirs ne provoquent plus de larmes ou de crises de panique digne d’un final de série Netflix,
Ils sont devenus (attention, mot tabou)… plaisant à faire.
Peu à peu, la confiance revient.
Pas une confiance de façade, mais une sécurité intérieure :
celle de sentir qu’on peut être soi,
Qu’on n’est pas “cassé(e)” ou “trop”,
Et ce jour-là, peut-être qu’il ou elle vous dira :
« Tu sais, je me sens mieux. Je crois que je commence à m’aimer. »
Et vous,
Vous soufflerez enfin.
Parce que ce que vous attendiez depuis si longtemps, ce n’était pas des notes ou des résultats…
Mais juste ça :
Que votre enfant retrouve le goût de vivre.
C’est pour tous ces jeunes que j’ai créé Sophro-Mobile™.

Je m’appelle

Depuis plus de 20 ans, j’accompagne des adolescents et des jeunes adultes qui ne vont pas bien…
Même quand “tout devrait aller”.
Ceux qui ne se sentent pas à leur place.
Ceux qui sont épuisés par l’école, l’hyperexigence ou l’hypersensibilité.
Ceux qu’on décrit comme brillants… mais démotivés.
Trop sensibles.
Trop lucides.
Trop dans leur tête (et ça tourne en boucle, comme une chanson dont on ne peut plus se défaire).
Ceux qui ont déjà consulté — sans succès.
Ou qui ne veulent plus en entendre parler.
Avec Sophro-mobile™,
– Je leur propose un cadre souple, – Même en chaussettes dépareillées avec les cheveux en bataille, c’est ok.
– A distance, – Même pas besoin de quitter le cocon de leur couette : la thérapie débarque chez eux.
– Bienveillant – Aucun regard qui juge si votre jeune oublie de dire bonjour ou met trois minutes à allumer sa caméra.
– Non intrusif. – Pas besoin de “se livrer” comme dans une émission de télé-réalité.
– Et FUN – On dédramatise à fond pour donner plus de légèreté à ce que l’on vit !
Pas besoin de “se confier” ou de “raconter sa vie”.
Ce n’est pas seulement la parole qui soigne,
C’est la façon dont on se reconnecte à son corps, à sa respiration, à ses propres ressources.
Je ne force rien.
J’écoute.
Je guide.
Je crée un cadre dans lequel les jeunes se sentent à nouveau capables.
Un cadre où on ajoute de la légèreté pour rire dès que possible.
Et je vois, séance après séance, des épaules qui se détendent, des regards qui s’éclairent, des respirations qui s’apaisent.
Parce qu’après avoir fait le tri des imperfections,
Ils prennent conscience de leur plaisir de vivre.
Mon parcours personnel — marqué par le handicap, un long travail de reconstruction et mon utrasensibilité — me permet d’accompagner les moments de doute avec douceur, fantaisie et détermination.
Et si vous vous demandez si ça “fonctionne vraiment”…
Je vous laisse lire les mots de ces jeunes (et parfois de leurs parents) qui racontent mieux que moi ce que cet accompagnement leur a permis de retrouver.
Concrètement,
comment ça se passe ?
Un début en douceur
On commence par discuter.
Pas de grand déballage obligé,
Juste ce qu’il faut pour poser les bases en confiance.
Ici, pas de jugements, pas d’étiquettes, pas de diagnostics à la louche.
Juste un espace sûr, tranquille, où on peut respirer un peu.
Partout, même sous un plaid
Les séances se font à distance — donc accessibles partout,
Même depuis une chambre en bazar, un canapé à l’autre bout du monde ou une pause entre deux cours.
confort, souplesse, et zéro stress logistique assuré !
L’objectif de tout ça ?
Devenir son propre allié.
Votre enfant se sentira à nouveau capable,
Libre de vivre une vie plus fluide,
Plus respirable.
Un entraînement qui fait du bien
On entre dans le vif du sujet :
des exercices de sophrologie et de méditation active,
adaptés à la personnalité du jeune et à l’objectif fixé ensemble.
C’est un peu comme un entraînement du cerveau.
Un peu comme on entraîne ses doigts au piano…
Ou ses réflexes au tennis.
Mais ici, on muscle ce qui fait du bien :
la confiance, la clarté intérieure, la capacité à gérer le stress et les émotions.
Des effets qui s’installent
EN MOINS DE 30 JOURS
Au fil des séances,
Les réactions deviennent plus douces, les pensées moins dures,
les émotions plus faciles à comprendre.
Petit à petit, on reprend les rênes.
Avec plus de calme, plus de légèreté, plus d’envie.
Voici ce que votre jeune va vivre au fil des séances
✔️ Comment apprendre à gérer une crise de panique… et retrouver un vrai apaisement, même en pleine tempête.
✔️ Pourquoi se dire “je suis nul(le)” n’est pas une vérité… mais un piège mental qu’on peut désamorcer.
✔️ Tout ce dont il/elle a besoin pour arrêter de se comparer aux autres et commencer à se sentir « assez » — tel qu’on est.
✔️ L’erreur la plus fréquente quand on se sent « bizarre » ou « à part » : croire qu’on doit changer pour s’adapter. Alors qu’en réalité, tout commence quand on apprend à se connaître.
✔️ Comment reprendre confiance sans sourire forcé ni pensée magique : juste une force intérieure qui revient, doucement mais sûrement.
✔️ Pourquoi parler d’OBJECTIFS avec bienveillance est une clé essentielle pour que les jeunes se sentent à nouveau acteurs de leur vie. (et comment fixer ces objectifs pour qu’ils ne soient plus une pression subie…mais un repère qu’ils choisissent)
✔️ Comment les cauchemars, les peurs scolaires ou les ruminations peuvent s’apaiser, sans forcer, grâce à des exercices qui reprogramment doucement le cerveau.
✔️ Comment retrouver un peu de légèreté (et même de l’amusement !) dans l’accompagnement… pour que les jeunes progressent sans pression, avec le sourire qui revient naturellement.
Les petits plus qui changent tout
📩 Un suivi par message entre les séances
Votre enfant a besoin de poser une question ?
Il a vécu un déclic ou un coup de mou entre deux rendez-vous ?
Je reste disponible via messages pour garder le lien, le soutenir, et répondre à ses doutes quand ils arrivent.
🎨 De la place pour la créativité
Dessiner, chanter, écrire, danser…
Ces formes d’expression sont les bienvenues dans nos échanges.
Parce que parfois, ce qu’on ne dit pas avec des mots, on peut l’apprivoiser autrement.
📚 Des ressources sélectionnées avec soin
Je partage volontiers des livres, vidéos ou articles adaptés à son âge et à sa sensibilité,
Pour nourrir sa réflexion et lui ouvrir de nouvelles perspectives,
Sans jamais forcer.
🎯 Une vraie ambition pour lui/elle
Quand un jeune me confie son objectif, je le prends au sérieux.
Je m’engage à ses côtés avec bienveillance… et exigence.
Je veux qu’il ou elle découvre sa puissance intérieure.
Et je l’y accompagne pas à pas.
Ce que vous avez déjà essayé…
et pourquoi ça ne suffit pas (toujours)
Quand on est parent, on fait tout ce qu’on peut.
On consulte. On lit. On conseille. On encourage. On s’accroche.
Et bien souvent, votre jeune est déjà passé par là :
☑️ Des séances chez le psy…
Mais il ou elle en est ressorti(e) avec la sensation de ne rien avoir dit d’important.
Ou pire : d’avoir “joué le jeu”, sans rien lâcher de vrai.
Ce n’est pas inutile.
Mais ce n’est pas toujours adapté.
Car ce qu’il vit là, maintenant, c’est surtout du stress dans le corps, des émotions sans mode d’emploi.
☑️ Des paroles pleines de bonnes intentions…
“Tu devrais lâcher prise.”
“Essaie le yoga.”
“Sois plus positif.”
Mais quand le mental est saturé, même les phrases bienveillantes peuvent sonner comme des ordres.
Et l’amour se transforme — malgré soi — en pression.
☑️ Des approches “positives” mais trop sages.
Elles enrobent la tristesse au lieu de l’écouter.
Elles polissent la surface sans jamais apaiser le fond.
Ici, on ne cache pas une faille.
On y descend, doucement.
Pour en remonter plus fort.
☑️ L’option “ça va passer”.
Quand on ne sait plus quoi faire, on espère.
On attend.
On se dit que ça ira mieux après les vacances, ou après les examens.
Mais quand l’angoisse s’installe, quand l’envie disparaît, quand les nuits sont coupées par les cauchemars…
Attendre devient un risque.
Pas une solution.
❌ Ce que je ne propose pas
Un miracle.
Une thérapie classique qui s’éternise.
Une solution unique pour tous.
✅ Ce que je propose
Une approche douce, fun et sur-mesure.
Des résultats visibles en MOINS de 30 jours, pour réenclencher le mouvement.
Un cadre où votre jeune se sent capable, respecté, écouté… même sans parler.

Une première rencontre,
pour voir…
sans pression !
Vous hésitez ? C’est normal.
Ici, pas de promesse en l’air.
Juste une invitation à tester — en toute simplicité.
On fait une première visio.
Et si vous sentez, vous ou votre enfant, que ce n’est pas le bon moment, le bon format ou la bonne personne…
Un simple message suffit, et on arrête là.
Sans condition.
Sans justification.
Sans malaise.
Cette première rencontre, c’est une parenthèse pour sentir si le lien peut naître.
Parce qu’on avance bien mieux quand on se sent vraiment en confiance.
Aujourd'hui,
deux chemins s'offrent à vous
Le premier ?
Continuer comme avant.
Attendre que les choses s’arrangent d’elles-mêmes.
Espérer que les peurs se calment, que les notes tiennent, que le cœur suive.
Espérer… sans savoir jusqu’à quand.
Et puis il y a l’autre voie.
Celle de l’action.
Celle qui consiste à lui offrir un espace stable, chaleureux, construit pour l’aider à se retrouver.
Un lieu où il peut poser ses bagages, exprimer ses émotions, apprivoiser son mental, renforcer sa confiance.
Un lieu vivant, vrai, humain.
Où chaque séance est une petite victoire contre la solitude et le doute.
Où il peut grandir, à son rythme, entouré et soutenu.
Ce choix-là, vous pouvez le faire dès maintenant.
Pour lui.
Et avec lui.
Pourquoi maintenant ?
Parce qu’un enfant ou un adolescent qui souffre trop longtemps, seul, finit par se construire avec cette douleur en trame de fond.
Et plus il attend, plus c’est lourd.
Plus les automatismes sont ancrés.
Plus il se dit que “c’est normal”, que “ça changera jamais”.
Alors que non.
Ça peut changer.
Et parfois, il suffit d’une séance pour que le déclic ait lieu.
Pas forcément le grand miracle.
Mais un basculement.
Une respiration.
Une confiance retrouvée.
Et vous savez quoi ?
Je n’accompagne qu’un nombre très limité de jeunes à la fois pour leur accorder toute mon attention.
Si vous lisez ces lignes, c’est que je suis sans doute encore disponible.
Prenez rendez-vous maintenant.
On voit ensemble si le courant passe — et si mon accompagnement est adapté à votre enfant.
FAQ - Foire aux questions
Est-ce que ça fonctionne vraiment à distance ? Peu importe où on se trouve dans le monde ?
Oui.
Et même mieux que ce qu’on imagine.
D’abord, parce que le cadre reste totalement confidentiel, confortable, intime — qu’on soit à Paris, à New York ou ailleurs dans le monde (seule une connexion internet est nécessaire).
Ensuite, parce que les jeunes d’aujourd’hui sont très à l’aise avec les appels vidéo. Il n’y a pas le stress du cabinet, ni le trajet à gérer.
Enfin, parce que cela permet une grande souplesse dans les horaires : les séances s’adaptent au décalage horaire.
Mon jeune est timide / n’a pas envie de parler. Est-ce que ça va marcher ?
Justement. Ici, on ne force pas à parler.
On parle un peu, si on en a envie.
Puis on passe par le corps. Par des ressentis. Par une forme d’entraînement actif.
Et petit à petit, l’envie de s’exprimer peut revenir.
Mais il n’y a pas de pression.
Ce n’est pas une thérapie verbale.
C’est une pratique vivante, concrète.
Il a déjà vu des psys. Qu’est-ce que ça change ?
Ici, ce ne sont pas des grands discours à écouter. Ce sont des expériences à vivre.
On ne parle pas de l’émotion : on la traverse.
Et surtout, rien n’est imposé.
Si un mot sonne faux, on le questionne.
Si un exercice ne lui parle pas, on passe.
C’est vivant, adaptatif, respectueux.
Est-ce que c’est “bizarre”, la sophrologie ?
Non. C’est simple. Concret. Accessible.
Pas besoin d’être souple, ni de croire à des trucs étranges.
On respire. On bouge. On ferme les yeux parfois.
Et surtout : on ressent.
Et ça change la manière de voir le monde, petit à petit.
Sans effort spectaculaire. Mais en profondeur.
Combien de séances faut-il ?
Cela dépend.
Parfois, une ou deux séances suffisent à faire émerger un premier déclic.
Parfois, on construit un vrai chemin sur plusieurs semaines.
Le rythme est défini ensemble.
Et rien n’est imposé.
De nombreux jeunes ont pu témoigner avoir ressenti un vrai changement en moins de 30 jours.
Est-ce que ça remplace un suivi médical ou un traitement ?
Non.
Ce n’est pas un traitement médical.
C’est une pratique complémentaire qui s’inscrit dans une démarche de mieux-être.
Si votre jeune est déjà suivi, cela peut tout à fait coexister.
Est-ce que c’est sérieux ? Est-ce que la praticienne est qualifiée ?
Oui. Ce que je propose est à la fois ancré dans des approches validées (sophrologie, phénoménologie, psychologie positive, etc.) et nourri par des années de pratique, de formation continue — y compris à l’international — et par une éthique de travail qui exclut le bullshit.
Chaque séance est pensée avec soin.
Avec engagement. Et une exigence de clarté.
Est-ce que mon enfant va devoir “se forcer” à être positif ?
Non. Le “positif” ici, ce n’est pas un sourire figé.
C’est ce qui fait du bien, profondément.
Ce qui répare.
Ce qui reconnecte à la joie de vivre.
On travaille ça comme un muscle, oui — mais avec douceur, et au rythme de chacun.
Est-ce que c’est réservé aux filles ?
Non. Même si la majorité des jeunes accompagnés sont des filles, les garçons sont les bienvenus — et trouvent eux aussi un espace où déposer leurs doutes, leur stress, leur fatigue mentale.
Il n’y a pas de cliché ici.
Juste de l’humain.
Est-ce que c’est pour les enfants ? les ados ? les jeunes adultes ?
Oui, oui et oui.
Les séances sont pensées pour s’adapter à l’âge et à la maturité du jeune.
De 8 à 25 ans.
Chaque étape de la vie demande un accompagnement particulier.
Et ici, il est sur-mesure.
Et si mon enfant n’accroche pas ?
Alors, on arrête.
Tout simplement.
Il n’y a ni engagement, ni jugement.
Les jeunes sentent très vite si le contact est bon.
S’il ou elle ne veut pas continuer, on ne force jamais.
Mais si le lien se crée… la transformation suit.
Est-ce que les séances peuvent avoir lieu en anglais ?
Yes — absolutely!
Je ne suis pas bilingue mais je parle couramment anglais (avec un bel accent franco-suisse !)
Si votre enfant est plus à l’aise en anglais, ou si c’est sa langue de scolarisation, les séances peuvent se faire entièrement dans cette langue.
Ce qui compte, c’est que les mots soient fluides pour lui, qu’il se sente libre d’exprimer ce qu’il ressent. Peu importe la langue : l’essentiel, c’est la connexion.