Mon petit Merleau-Ponty… hommage à Maurice…

La sophrologie – mon univers – ma pratique

La voix. Encore la voix…


« Ne pas parler de poésie,
Ne pas parler de poésie, En écrasant les fleurs sauvages » Barbara, Perlimpinpin

Je ne sais si Barbara vous parle comme à moi, mais je préfère ses mots pour faire comprendre que je ne pourrais enseigner une pratique que je ne vivrais pas là, au présent, tout simplement…

Après mes études de Lettres Modernes, je découvre la sophrologie et prends conscience que le métier dont je rêve existe !

Depuis toujours j’aime rire et j’aime « les gens ». Mais en même temps, dès l’enfance, je perçois la finitude de tout cela. Or je ne comprends pas, petite, qu’à 7 ou 8 ans je sois seule à me dire : « un jour nous mourrons. Est-ce que cela ne vaut pas le coup de rire de cette vie et d’être bien ensemble là maintenant ? N’est-ce pas cela l’important ou doit-on en plus subir le sombre ? ».

(Je remplaçais mon ressenti de tristesse et de peur de la fin, par un sentiment de joie et de confiance : c’était très empirique : ce n’est plus tard que j’ai vu combien c’était très sophrologique :D)

Or en rencontrant des médecins sophrologues, je réalise qu’il n’y a pas que moi que cela passionne et qu’on en a fait une profession ! Je découvre ébahie l’application de la phénoménologie, l’importance du non jugement, la recherche d’un nouveau regard sur notre vie à partir de nos ressentis et le choix toujours possible de la quête de la joie appliqué concrètement dans nos vies.

Je me forme alors à la sophrologie avec son fondateur, monsieur Caycédo.

Depuis plus de 20 ans, j’ai pu appliquer ce que j’avais appris à des parcours difficiles, comme avec des personnes handicapées ou qui vivaient à la rue et pratiquaient parce que cela leur faisait du bien concrètement. Et c’est toujours cela qui m’intéresse par-dessus tout : que la découverte de la pratique change quelque chose concrètement dans votre vie.

Moi, elle m’a permis de me relever d’une grave maladie, mais c’est anecdotique dans ma pratique : ce qui me nourrit est ce challenge à chaque fois renouvelé de vous aider à trouver le chemin de la paix.

La paix… Je l’ai aperçue un jour comme un pays VERS lequel nous pouvons tous aller et cette image ne m’a pas quittée.

Calmer ses angoisses, transfigurer ses peurs, repérer et apaiser son égo, voir sans jugement sa posture de victime : cela aide à changer de point de vue pour se relever, aider à comprendre ce qui se passe en nous pour être apaisé : et pour se faire, apprendre à se détendre en toute circonstance, apprendre à lâcher-prise, apprendre à repérer en soi ce qui nous fait du bien pour inverser la vapeur et rebondir au lieu de s’écraser, en utilisant ses propres ressentis, ses propres besoins, ses propres désirs et ce qu’on ne veut plus. Et ce, quel que soit notre âge : mes plus jeunes accompagnés ayant 8 ans…

Dernière touche à cette esquisse pour décrire mon travail : sans ma campagne, les arbres et le ciel dans ma ville et sans la richesse infinie de l’art sous toutes ses formes qui nourrit de grâce ma ville et mon cœur, ma pratique serait bancale.

Nos ressentis ne peuvent être tous décrits avec des mots : en revanche, l’univers énergisant de la nature ou des mondes retranscrits par nos chers artistes nous touchent en profondeur et nous révèlent à nous-mêmes d’une façon évidente. Simple. Bouleversante.

C’est ce que j’ai envie de retransmettre en vous offrant la possibilité de pratiquer au musée, comme autant de propositions de jouer avec vous-même….

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