
Et si les larmes nous aidaient ?
Tant de gens ont peur ou ne supportent pas de voir une personne triste pleurer. Un de mes clients l’autre jour s’est vu quasiment conduire directement chez le médecin parce qu’il pleurait « longtemps »… 10 minutes. (alors que sa vie est douloureuse en ce moment…) Certes c’était sur le lieu du travail mais à la pause. N’avons-nous pas besoin de retrouver notre harmonie intérieure afin de recréer de l’espace à l’intérieur de nous pour le sacré – l’autre ici – dont parlait si joliment Maurice Genevoix?
Savoir consoler l’autre et soi-même, écouter la peine, c’est comme libérer le chemin pour qu’un jour revienne la joie.
Je fais partie des gens qui ne pleurent pas forcément au moment de la catastrophe. Je ne fais pas exprès mais mon énergie du moment me porte, me fait agir, comme s’il en allait de ma survie.
Et puis après, je pleure. Et puis après, je ris. C’est HUMAIN.
Mon client, envoyé chez le médecin m’a dit ensuite : « ça m’a fait du bien de pleurer. » Mais ouiiii ! Nos larmes de tristesse ne sont pas les mêmes que nos larmes de joie. Celles de tristesse ont la faculté de nettoyer les métaux lourds de nos cellules. Alors laissons-nous pleurer… Laissons-nous rire. Quand cela vient. Nous sommes vivants, c’est tout. Avec nos imperfections, avec nos écorchures... Et avec nos fous rires.
Accueillir nos émotions difficiles avec bienveillance fait qu’elles s’alchimisent bien plus vite que quand nous luttons contre elles.
Et à jouer avec nous-mêmes en nous relâchant, en évacuant les tensions, en activant notre énergie et notre intention de la retrouver un jour cette joie profonde… en ne s’accrochant pas, on se surprend
à la voir revenir plus vite que prévu…
notre joie.
Cela ne cesse de m’émerveiller…

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