Présentation


présentation de la personne ultrasensible-hypersensible : quelle beauté, quels détails différents!

Présentation « brève » de mon travail de Sophrologue

Je présente mon hypersensibilité (je préfère le terme « ultrasensibilité » plus juste) en avant poste pour que les hypersensibles qui me liront puissent se savoir en toute sécurité dans mon cabinet. J’ai moi été  suivre des psychologues et un psychanalyste qui ignorant tout du sujet ont causé quelques dégâts en moi-même que je m’assure d’absolument ne pas reproduire pour mes clients.

Ultra-sensible donc, éprise de liberté (une de mes valeurs préférées, y compris pour mes clients.es) et accessoirement handicapée moteur, j’ai pris la décision il y a plusieurs années de créer ma Sophro-Mobile = Sophrologue Caycédienne depuis plus de 15 ans, je me destinais à ne plus la pratiquer qu’au téléphone pour les séances individuelles et en visio pour les groupes.

En 2016 j’ai ajouté à mon travail et mes recherches une pratique venue tout droit des pays anglo-saxons : la compassion pour soi. (Mindful Self Compassion pratiquée déjà en Angleterre par le professeur Paul Gilbert, puis aux États-Unis par Kristin Neff et Chris Germer… entre autres! Mais ce sont mes professeurs). C’est impressionnant comme la gentillesse peut nous panser, mais en même temps n’est pas de toute évidence pour tout un chacun.

A nouveau j’ai pu constater combien l’approche positive de la Sophrologie protège ceux qui la pratiquent : on ne fait qu’écouter et observer son corps et dialoguer avec lui... pour atteindre ses objectifs, trouver sa motivation, une énergie qui fait défaut ou cesser de se prendre la tête avec sa famille ou ses collègues par exemple.

Étant handicapée depuis 2005, je me suis passionnée aussi pour les recherches en neurobiologie (surtout anglo-saxonnes) car ma moelle étant « bordélique » dixit mon chirurgien à la Pitié, l’image de l’IRM ne correspond pas aux mouvements que parvient à faire mon corps…

Le message passe jusqu’à mes muscles, mais comment?? Bien sûr que je suis convaincue que toute ma pratique de la sophrologie joue : je forme avec mon corps, mes cellules, une équipe qui essaie de rester enjouée pour toujours aller plus loin… Mais que se passe-t-il en moi ? Comment tous les différents exercices de pratique peuvent-ils m’aider au quotidien?

Les publications très pédagogues de Rick Hanson  sur les recherches en neuroplasticité et système nerveux m’ont beaucoup nourrie et continuent à le faire en 2024 ! (comme Deb Dana, I’m a neuro nird!)

Ce n’est pas un miracle… C’est notre corps qui peut être merveilleux.

En 2021, j’ai découvert Richard Schwarz et son impressionnante pratique de l’IFS (Internal Family System – Système Familial Interne) qui matche parfaitement avec la sophrologie et la phénoménologie pour nous aider à nous désidentifier de nos pensées, nos émotions, nos croyances etc. 

La clef identique est le sans jugement et sans a priori. La théorie qui me plaît est d’envisager que nous sommes si bien faits que tout en nous est là pour nous aider, nous protéger etc. Y compris nos pensées, nos émotions les plus pénibles. Tout est bon en nous pourrait être le message. Mais attention, pas de naïveté ici; la force du sans jugement et l’énergie d’une véritable affection qui circulent permettent d‘avancer en douceur et sans précipitation

Et là les réponses arrivent, les portent s’ouvrent : on s’ouvre à la paix et à atteindre nos objectifs. Pas à la disparition de nos côtés pénibles!! Mais on apprend à les écouter et à les laisser nous fiche la paix.

Même chez les plus âgés.es d’entre nous. C’est une pratique très belle et libératrice.

Je me suis plus particulièrement spécialisée envers un public d‘adultes ou enfants ultra-sensibles , d’enfants souffrant de Troubles de l’Attention avec ou sans Hyperactivité et d’HP, adultes ou enfants…

 et à atteindre nos objectifs

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